Le coït n’est pas obligatoire lors d’une relation sexuelle. Il est possible de se procurer du plaisir et atteindre l’orgasme sans pénétration !
Le sexe oral, masturbation mutuelle, sexe contre sexe, peut vous propulser vers des plaisirs dont vous ignoriez l’existence.

Il existe aussi d’autres pratiques sexuelles moins connues comme l’ axilisme, consistant pour un homme à se masturber à l’aide des aisselles de son ou sa partenaire. La peau des aisselles étant sensible aux stimulations chez certaines personnes, les deux participants peuvent y prendre du plaisir et le rapport aboutira à un véritable orgasme.

Le bondage bondage(du verbe anglais to bind, lier) est une pratique érotique qui consiste à contraindre, d’une manière ou d’une autre, son/sa partenaire. Le bondage consiste à contraindre le corps dans sa totalité ou en partie, généralement à l’aide de cordes et de bâillons, dans le bondage pur, on ne retrouve pas les notions de dominant-dominé, humiliation et servitude, propres au sado- masochisme. Le bondage peut être considéré comme une pratique érotique à part entière, qui se suffit généralement à elle- même. Trés fréquemment des couples utilisent des foulards, menottess, pour ligoter leur partenaire.

Le fétichisme est l’attirance exclusive pour une partie du corps, un vêtement, une image ou quelque chose de semblable qui permet d’ assouvir son désir.
Dans toute relation amoureuse, il y a une part de fétichisme. Il est trés fréquent qu’un homme par exemple demande à sa compagne de porter une tenue particulière pour faire l’amour (talons aiguilles).
Ou les fans de petons, la podophilie est l’attirance sexuelle pour les pieds. Les Thaïlandais et les Chinois ont une forte attirance sexuelle pour le pied. Les ouvrages érotiques chinois montrent souvent des femmes se masturbant en se frottant la vulve avec leurs pieds.

Mais est-ce une perversion ?

Certaines pratiques sexuelles, considérées autrefois comme perverses par le discours moral, sont aujourd’hui communément admises. La perversion se définie en fonction des normes sociales, donc évolue constamment.
L’homosexualité par exemple avait été définie comme perversion par Sigmund Freud, au même titre que la pédophilie ou la zoophilie. Ce n’est qu’en 1983 que l’OMS retire l’homosexualité de la liste des maladies mentales.

Tout est une question de modération, si vos activités sexuelles, impliquent des pratiques qui vous font souffrir ou font souffrir votre partenaire, il faut en parler dans votre couple, et prévoir l’aide d’un professionel. Car il pourrait s’agir d’une perversion “hard”, où l’on devient esclave de sa sexualité.

Evidement toutes les pratiques sexuelles, tel la pédophilie, la zoophilie… sont des perversions graves, qui nécessitent une thérapie, et l’intervention de la justice, se sont des pratiques sexuelles illégales.

Si vos activités sexuelles hors normes, ou perversion soft amènent du piment dans votre vie sexuelle et un plaisir partagé dans votre couple, il n’y a pas de soucis.

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